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Occurrence of COVID-19 in priority groups receiving ChAdOx1 nCoV-19 coronavirus vaccine (recombinant): A preliminary analysis from north India.

ABSTRACT: The ChAdOx1 nCoV-19 vaccine (Oxford University-Astra Zeneca) has demonstrated nearly 70% efficacy against symptomatic COVID-19 in trials and some real-world studies. The vaccine was the first to be approved in India in early January 2021 and is manufactured by the Serum Institute of India. Favorable short-term safety data of the vaccine in India in a real-world setting has been recently demonstrated. Here, we report secondary objective (COVID-19 occurrence) measures of the same ongoing prospective observational study in prioritized recipients of the vaccine. The findings are based on participants who could complete at least 2 months of follow-up (n = 1500; female/male: 472/1028; mean age: 38.8 years). Laboratory confirmed SARS-CoV-2 infection was observed in 27/65 participants (41%) who received a single dose and 271/1435 (19%) who received both doses. Specifically, among doctors, 18/27 (66.7%) one dose recipients and 131/377 (34.7%) fully vaccinated developed SARS-CoV-2 infection. The majority of the cases were mild in all groups, and most were breakthrough infections. The occurrence of "severe" COVID-19 was 7.7 times lower (0.4%) in fully vaccinated participants compared to partially vaccinated (3.1%). Four deaths were observed in the study. One of the four deaths was due to sepsis, two due to unspecified cardiac events, and one due to unspecified post-COVID-19 complications. The results of this preliminary analysis necessitate vigorous research on the performance of vaccines against variants, optimal timing of vaccination, and also optimal timings of effectiveness studies to guide future vaccination policy.

SUBMITTER: Kaur U

PROVIDER: S-EPMC8662184 | biostudies-literature |

REPOSITORIES: biostudies-literature

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Project description:Introduction La nouvelle infection par le SRAS-CoV-2 a récemment été déclarée pandémie par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). En réponse à la propagation mondiale du virus, de nombreux vaccins ont été développés, comme le vaccin ChAdOx1 nCoV-19. Bien que ce vaccin ait un bon profil de sécurité, ses effets secondaires ne sont pas encore complètement caractérisés. Nous décrivons onze cas de zona après vaccination. Matériel et méthodes De mars à mai 2021, onze cas de zona après vaccination ont été observés dans notre institution. Résultats Sur les onze patients atteints de zona, 6 étaient des hommes et 5 des femmes. L’âge moyen des patients était de 56,8 ans. À l’exception d’un patient qui avait des antécédents d’hypertension et d’un autre qui était diabétique, aucun n’avait d’antécédents médicaux. L’atteinte thoracique était la plus fréquente, suivie par l’atteinte du trijumeau. Neuf patients ont développé l’éruption après la première dose du vaccin et 2 patients après la deuxième dose. Tous les patients ont reçu du valaciclovir (3 g/jour) pendant dix jours avec un traitement symptomatique. Un seul patient a été hospitalisé et traité par ceftriaxone (2 g/jour) pendant 10 jours en association avec la gentamicine (160 mg/jour) pendant 3 jours. L’évolution était sans complication pour 10 patients, un patient a développé un syndrome régional complexe. Discussion Le zona est particulièrement fréquent au cours des hémopathies malignes, des cancers, des déficits immunitaires, notamment le VIH, et des traitements immunosuppresseurs, l’immunité à médiation cellulaire jouant un rôle important dans la défense antivirale. Des zonas ont également été observés dans plusieurs cas de COVID-19. Ceci pourrait être expliqué par la diminution du nombre absolu de lymphocytes, secondaire à l’infection. Dans la littérature, hormis la réactivation du zona après la vaccination contre la varicelle, il existe très peu de publications associant la vaccination et la survenue du zona. Jusqu’à présent, l’infection par le zona n’a pas été signalée comme étant un effet indésirable de vaccins contre la COVID-19. Il est possible que le zona observé chez nos patients ait été causé par l’immunomodulation induite par le vaccin, car le moment de l’infection a coïncidé avec l’administration du vaccin. Conclusion Notre étude suggère que l’immunomodulation secondaire à l’administration du vaccin contre la COVID-19 peut augmenter le risque de zona. Cependant, ces cas ne prouvent pas la causalité et des études approfondies sont nécessaires pour élucider le lien possible entre la vaccination contre la COVID-19 et la réactivation de l’infection VZV.

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Occurrence of COVID-19 in priority groups receiving ChAdOx1 nCoV-19 coronavirus vaccine (recombinant): A preliminary analysis from north India.

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