Population and labour force projections for 27 European countries, 2002-052: impact of international migration on population ageing: Projections de population et de population active pour 27 pays europeens 2002-052: impact de la migration internationale sur le vieillissement de la population.
Ontology highlight
ABSTRACT: Population and labour force projections are made for 27 selected European countries for 2002-052, focussing on the impact of international migration on population and labour force dynamics. Starting from single scenarios for fertility, mortality and economic activity, three sets of assumptions are explored regarding migration flows, taking into account probable policy developments in Europe following the enlargement of the EU. In addition to age structures, various support ratio indicators are analysed. The results indicate that plausible immigration cannot offset the negative effects of population and labour force ageing.
Project description:Introduction La vaccination contre la COVID-19 est l’une des solutions pour mettre fin à la pandémie. Nous avons peu d’expérience des vaccins à ARNm. Le syndrome de Sweet (SS) est une dermatose aiguë neutrophilique rare principalement idiopathique ou secondaire à des hémopathies. Peu de cas ont été décrits après vaccination. Nous rapportons un cas de SS survenant après la vaccination par ARNm COVID-1. Matériel et méthodes Un homme de 76 ans recevait une dose de vaccin contre le SARS-CoV2, BNT162b2 (Pfizer/BioNTech), le 1er avril 2021. Il développait un malaise fébrile quelques heures après, suivie au 3e jour d’une éruption cutanée avec plaques érythémateuses douloureuses des jambes, avant-bras et mains et lésions purpuriques arciformes des membres inférieurs. La biologie standard trouvait une CRP élevée et une anémie. Une biopsie cutanée de l’avant-bras montrait un infiltrat inflammatoire du derme superficiel et moyen, composé de neutrophiles altérés, de lymphocytes CD3+ et d’histiocytes matures CD68+, CD163+, myéloperoxydase négatifs, une leucocytoclasie et de rares extravasations érythrocytaires sans vascularite. L’immunomarquage (CD56−, CD34−, CD117−) excluait un myéloprolifération ou une leucémie cutanée. Au 14e jour, l’éruption s’aggravait associée à une hyperthermie et une altération de l’état général nécessitant une hospitalisation. Le bilan biologique et radiologique montrait un syndrome inflammatoire marqué avec une CRP à 147 mg/L et écartait une maladie auto-immune, paranéoplasique ou infectieuses. La sérologie COVID-19, réalisée deux semaines après l’injection, montrait des IgG positifs sans IgM, en faveur d’une réaction immunitaire efficace à la première dose. Résultats Un syndrome de Sweet histiocytique post-vaccinal était diagnostiqué. Une corticothérapie orale, prednisolone 1 mg/kg/jour, permettait une résolution des symptômes en 48 heures et une normalisation de la CRP en quatre jours. Discussion Notre cas répond à 1 critère majeur (apparition brutale de plaques érythémateuses douloureuses) et aux 4 critères mineurs (précédé d’une vaccination, fièvre > 38 °C, CRP élevée et excellente réponse aux corticoïdes systémiques) de diagnostic du SS (von den Driesch, 1994). Sur le plan histologique, nous observions une variante histiocytique du SS avec neutrophiles et histiocytes matures, sans cellule blastique immature, suggérant une lésion tardive de SS conventionnel. Le délai de survenue en quelques jours est très évocateur d’une origine vaccinale. Les réactions cutanées classiques après vaccination Moderna et Pfizer contre la COVID-19 sont bénignes et locales, avec un délai médian de 7 jours et plus rarement systémiques avec urticaire, éruptions morbilliformes, ou érythromélalgie, pernio/engelures. Ainsi, nous rapportons à notre connaissance le premier cas de SS post-vaccin COVID19, diagnostic à garder à l’esprit lors d’une réaction dans les jours qui suivent cette vaccination.
Project description:ObjectivesSuicide is a complex global public health issue. The objective of this study was to assess time trends in suicide mortality in Canada by sex and age group.MethodsWe extracted data from the Canadian Vital Statistics Death Database for all suicide deaths among individuals aged 10 years and older based on International Statistical Classification of Diseases and Related Health Problems, Ninth Revision (E950-959; 1981 to 1999) and International Statistical Classification of Diseases and Related Health Problems, 10th Revision (X60-X84, Y87·0; 2000 to 2017) for a 37-year period, from 1981 to 2017. We calculated annual age-standardized, sex-specific, and age group-specific suicide mortality rates, and used Joinpoint Regression for time trend analysis.ResultsThe age-standardized suicide mortality rate in Canada decreased by 24.0% from 1981 to 2017. From 1981 to 2007, there was a significant annual average decrease in the suicide rate by 1.1% (95% confidence interval, -1.3 to -0.9), followed by no significant change between 2007 and 2017. From 1981 to 2017 and from 1990 to 2017, females aged 10 to 24 and 45 to 64 years old, respectively, had a significant increase in suicide mortality rates. However, males had the highest suicide mortality rates in all years in the study; the average male-to-female ratio was 3.4:1.ConclusionThe 3-decade decline in suicide mortality rates in Canada paralleled the global trend in rate reductions. However, since 2008, the suicide rate in Canada was relatively unchanged. Although rates were consistently higher among males, we found significant rate increases among females in specific age groups. Suicide prevention efforts tailored for adult males and young and middle-aged females could help reduce the suicide mortality rate in Canada.
Project description:Introduction La pandémie à SARS-CoV-2 a soulevé de nombreuses questions sur la prise en charge des maladies chroniques et leurs traitements. Les données concernant l’utilisation des biothérapies chez les adultes atteints de psoriasis sont rassurantes, mais manquent chez l’enfant. Par ailleurs, l’infection à SARS-CoV-2 pourrait influencer l’évolution du psoriasis chez l’enfant. L’objectif de cette étude était d’évaluer l’impact de l’infection à SARS-CoV-2 sur le psoriasis, et la sévérité de l’infection selon le traitement systémique reçu. Matériel et méthodes Les données ont été collectées de février 2021 à février 2022 en provenance de 14 pays. Les enfants étaient inclus s’ils avaient moins de 18 ans, un antécédent de psoriasis ou apparu dans le moins suivant l’infection COVID-19, et avaient été infectés par le SARS-CoV-2 avec ou sans symptômes. Résultats Au total, 117 enfants ont été inclus (filles : 49,6 %, âge moyen : 12,4 ans) avec 120 infections) SARS-CoV-2. La principale forme de psoriasis était le psoriasis en plaques (69,4 %) ; le psoriasis était actif avant l’infection dans 70,1 % des cas. La majorité des enfants ne prenaient pas de traitement systémique au moment de l’infection (54,2 %), 33 enfants (28,3 %) étaient sous biothérapie (principalement anti-TNF alpha et ustékinumab), et 24 (20,0 %) sous traitement systémique conventionnel (principalement méthotrexate). L’infection était confirmée chez 106 enfants (88,3 %) et 3 ont eu la maladie 2 fois (1 enfant asymptomatique sous ustékinumab et 2 enfants symptomatiques sans traitement systémique). L’infection était symptomatique chez 75 enfants (62,5 %) avec une durée moyenne des symptômes de 6,5 jours, significativement plus longue chez les enfants sous traitement systémique conventionnel (p = 0,002) ou sans traitement systémique (p = 0,006) par rapport aux enfants traités par biothérapies. Six enfants ont nécessité une hospitalisation, dont un enfant en réanimation ; ils étaient plus fréquemment sous traitements systémiques conventionnels par rapport aux autres enfants (p = 0,01), et principalement sous méthotrexate (p = 0,03). Aucun enfant sous biothérapie n’a été hospitalisé, et aucun décès n’a été rapporté. Après l’infection, le psoriasis s’est aggravé dans 17 cas (15,2 %), sans modification du phénotype sauf pour un enfant avec un psoriasis initialement en plaques qui a eu suite à l’infection une poussée de psoriasis en gouttes. Neuf enfants (8,0 %) ont développé un psoriasis de novo dans le mois qui a suivi l’infection, plus souvent un psoriasis en gouttes (p = 0,01) par rapport aux enfants ayant un antécédent connu de psoriasis. Ces enfants avaient un antécédent familial de psoriasis dans 75,0 % des cas. Discussion L’utilisation des biothérapies semble rassurante sans augmentation du risque de forme sévère de COVID-19 chez les enfants atteints de psoriasis. L’infection à SARS-CoV-2 était responsable du développement de psoriasis de novo ou de l’aggravation d’un psoriasis connu chez certains enfants.
Project description:The complex relationship between life course and social/economic-psychosocial conditions in a given society has a powerful determining effect on human health. The socioeconomic gradient emerges from a complex mixture of psychosocial and material influences operating at various levels of social aggregation and, also, a series of biological responses whose character and significance vary over the life course. Biological embedding and the “latency” and “pathways” model incorporate the notion of a critical period in development; the pathways model emphasizes the cumulative effect of life events and the ongoing importance of social/economic-psychosocial conditions throughout the life cycle. The models, although conceptually complementary, result in ideological conflict and lend themselves to different policy directions. Electronic Supplementary Material Supplementary material is available for this article at 10.1007/BF03405090 and is accessible for authorized users.
Project description:We produce probabilistic projections of population for all countries based on probabilistic projections of fertility, mortality, and migration. We compare our projections to those from the United Nations' Probabilistic Population Projections, which uses similar methods for fertility and mortality but deterministic migration projections. We find that uncertainty in migration projection is a substantial contributor to uncertainty in population projections for many countries. Prediction intervals for the populations of Northern America and Europe are over 70% wider, whereas prediction intervals for the populations of Africa, Asia, and the world as a whole are nearly unchanged. Out-of-sample validation shows that the model is reasonably well calibrated.
Project description:The EMBO workshop 'Hedgehog Signalling: from Developmental Biology to Anti-cancer Drugs' took place between 27 and 31 March on the beautiful Côte d'Azur. The gathered scientists tackled topics ranging from the mechanisms by which Hedgehog (Hh) is presented to receptive cells, to the distribution of Hh by Glypicans, to the role of cilia in vertebrate Hh signal transduction, and to the function of Hh signals in cancer.
Project description:Introduction La crise sanitaire COVID-19 a bouleversé l’organisation du système de santé français et international, par la soudaineté de cette épidémie et des mesures ayant été mises en place pour y faire face. L’objectif de cette étude est d’explorer l’influence de la crise sanitaire COVID-19 et particulièrement de la réorganisation médicale qui en a résulté durant le 1er confinement sur un éventuel retard au diagnostic dans le mélanome cutanéo-muqueux primitif, sur un bassin de population. Matériel et méthodes Étude rétrospective multicentrique, à partir des données de toutes les réunions de concertation pluridisciplinaire (RCP) d’oncodermatologie du département de Loire-Atlantique. Comparaison, dans un bassin de population, des mélanomes nouvellement diagnostiqués durant une période de 6 mois en 2020 (mars à août) correspondant au 1er confinement en 2020 et les mois qui ont suivi (P20), aux mélanomes diagnostiqués sur les mêmes mois de l’année précédente (mars à août 2019), avant la crise sanitaire COVID-19: P19. Les données recueillies pour chaque cas étaient les suivantes : – pour le patient: âge et sexe ; –pour le mélanome: sous-type histologique, indices de Breslow et de Clark, ulcération, stade AJCC, délai de prise en charge défini par le délai entre l’exérèse initiale du mélanome et le moment où le patient est reçu en RCP pour organisation d’une reprise chirurgicale ou prise en charge complémentaire. Résultats Le nombre de mélanomes nouvellement diagnostiqués était de 247 en P19 et 209 en P20. Le sex-ratio homme/femme était de 1,1 en P19 et 1,2 en P20. La figure 1 illustre le nombre de cas par mois pour chacun des 6 mois en 2019 et 2020. Pendant la période de confinement de 2020 (du 17 mars au 11 mai), 54 cas ont été diagnostiqués et 73 l’année précédente sur la même période. L’indice de Breslow moyen en P19 était de 1,83 mm et de 1,65 mm en P20 (p = 0,429). Le délai de prise en charge était statistiquement significativement plus important en 2020 qu’en 2019 (délais de 33,36 jours versus 28,90 jours, p = 0,023). Discussion Sur ce bassin de population étudié, le nombre de mélanomes diagnostiqués a été inférieur à celui observé l’année précédente sur la même période et ce en particulier en avril-mai. Par contre, il ne semble pas y avoir de retard au diagnostic, en se basant sur le critère principal à savoir l’épaisseur au diagnostic. Il a été montré de façon similaire dans une étude italienne une diminution franche du nombre de diagnostics de mélanome en per confinement italien, avec découverte d’un indice de Breslow moyen durant le confinement abaissé. Toutefois, une autre étude menée à Londres a montré des résultats différents avec notamment un taux de détection plus élevé durant le confinement. Il n’y a actuellement pas d’autre étude dans la littérature étudiant l’impact de la crise sanitaire COVID-19 sur le retard au diagnostic des mélanomes en France.
Project description:We retrospectively looks at the impact of the margin status and its size in mm on the recurrence rate in colo-rectal liver metastasis surgery.
Project description:BackgroundClinical, functional, and cost-effectiveness outcomes from early intervention services (EIS) for psychosis are significantly associated with the duration of untreated psychosis (DUP) for the patients they serve. However, most EIS patients continue to report long DUP, while a reduction of DUP may improve outcomes. An understanding of different components of DUP and the factors associated with them may assist in targeting interventions toward specific sources of DUP.ObjectivesTo examine the components of DUP and their respective determinants in order to inform strategies for reducing delay in treatment in the context of an EIS.MethodsHelp-seeking (DUP-H), Referral (DUP-R), and Administrative (DUP-A) components of DUP, pathways to care, and patient characteristics were assessed in first episode psychosis (N = 532) patients entering an EIS that focuses on systemic interventions to promote rapid access. Determinants of each component were identified in the present sample using multivariate analyses.ResultsDUP-H (mean 25.64 ± 59.00) was longer than DUP-R (mean = 14.95 ± 45.67) and DUP-A (mean 1.48 ± 2.55). Multivariate analyses showed that DUP-H is modestly influenced by patient characteristics (diagnosis and premorbid adjustment; R 2 = 0.12) and DUP-R by a combination of personal characteristics (age of onset and education) and systemic factors (first health services contact and final source of referral; R 2 = 0.21). Comorbid substance abuse and referral from hospital emergency services have a modest influence on DUP-A (R 2 = 0.08). Patients with health care contact prior to onset of psychosis had a shorter DUP-H and DUP-R than those whose first contact was after psychosis onset (F(1, 498) = 4.85, P < 0.03 and F(1, 492) = 3.34, P < 0.07).ConclusionsAlthough much of the variance in DUP is unexplained, especially for help-seeking component, the systemic portion of DUP may be partially determined by relatively malleable factors. Interventions directed at altering pathways to care and promote rapid access may be important targets for reducing DUP. Simplifying administrative procedures may further assist in reducing DUP.
Project description:Introduction La propagation de COVID-19 a amené la France à se confiner une 1ère fois du 17 mars au 11 mai 2020. Cette maladie potentiellement grave a confronté les patients atteints de psoriasis et recevant un traitement systémique, ainsi que leurs médecins, à de nombreuses incertitudes qui ont pu conduire à des modifications de leur traitement de fond. L’objectif de cette étude était d’évaluer les facteurs associés à une modification (arrêt, diminution de dose, espacement) du traitement systémique des patients au cours de la 1ère vague. Matériel et méthodes Étude ancillaire de la cohorte PSOBIOTEQ, portant sur les patients psoriasiques inclus avant le confinement et recevant un traitement systémique. Une enquête spécifique sur COVID-19 a été menée du 1er juin au 31 décembre portant sur la 1ère vague. L’analyse des facteurs associés à une modification du traitement systémique a été réalisée en uni et multivariée. Résultats Au total, 1664 patients (âge médian : 49 ans ; femmes : 37,4 %) ont été inclus dont 631 (37,4 %) provenaient de régions à forte incidence de COVID-19. Les patients étaient sous le même traitement depuis une durée médiane de 20 mois avant le confinement. Le nombre de cas suspectés/confirmés incidents de COVID-19 était de 43 (2,9 %). Au total, 282 (16,9 %) patients ont modifié leur traitement. Cette modification a été décidée par le patient (46,0 %), recommandée par un médecin généraliste (14,0 %), un dermatologue (16,2 %) ou était liée à un problème d’accès aux soins (ex: consultation annulée ou rupture de stock en pharmacie) (18,0 %). Parmi les patients ayant modifié leur traitement, 155 (58,7 %) ont eu une poussée de psoriasis au cours du confinement vs 189 (14,4 %) chez les patients ne l’ayant pas modifié (p < 0,0001). Aucune différence n’a été observée concernant les précautions vis-à-vis de COVID-19 pendant le 1er confinement entre les deux groupes. En analyse multivariée, les facteurs associés à une modification du traitement étaient : avoir une maladie cardiovasculaire (Odds ratio (OR) IC95 % 0,5 [0,3 ;0,7], p < 0,001), un diabète (OR IC95% 0,5 [0,2 ;1,1], p = 0,049) et le fait de consommer de l’alcool (OR IC95% 1,7 [1,1 ;2,6], p = 0,007). Discussion L’épidémie de COVID-19 a provoqué une modification des traitements systémiques lors de la 1ère vague parmi 16,9 % des patients de la cohorte–principalement décidée par les patients eux-mêmes–et entraînant des poussées de psoriasis. Les patients avec des comorbidités, facteurs de risque de formes graves de COVID-19, ont moins fréquemment modifié leur traitement systémique. En revanche, la consommation d’alcool était un facteur associé à une modification du traitement systémique. Le type de traitement de fond n’était pas retenu par le modèle. Ces résultats nous incitent à une meilleure anticipation sur l’information des patients et la continuité des soins en cas de crise sanitaire.